Les trois idées reçues sur le plan d'épargne logement (PEL)
Le PEL ne date pas d’hier : créé en 1969 , ce produit d’épargne réglementé par l’État vise à favoriser l’obtention de prêts immobiliers.
Car c’est l’une de ses particularités : le plan d’épargne logement n’est pas seulement un placement, il facilite aussi l’accès au financement pour acquérir un bien immobilier. Aujourd’hui, 16 millions de Français détiennent un PEL.
Le PEL rapporte peu
taux d’intérêt fixe pour votre futur emprunt immobilierMême s’il est fixé à 2,2% en 2018, alors que les taux actuels sont plus bas, n’oubliez pas que les prévisions pour les années à venir sont à la hausse… et quelques points en votre faveur sur votre taux d’intérêt peut vous faire économiser quelques milliers d’euros, que vous pourrez investir dans votre aménagement intérieur par exemple !
J’économise ce que je peux quand je peux sur mon PEL
- Un versement initial de 225 euros minimum (à l’ouverture donc),
- Puis des versements réguliers de 45 euros par mois, ou de 135 euros par trimestre, ou de 270 euros par semestre minimum.
Je peux financer n’importe quel projet immobilier
Vous pourrez aussi financer les travaux d’amélioration, d’extension ou de réparation de votre résidence principale.
Pour conclure, le plan d’épargne logement est un placement qu’il faut envisager à moyen ou long terme. D’ailleurs, il peut être souscrit par un mineur — sachant qu’il ne peut y avoir qu’un PEL par personne, et autant qu’il y a de membres dans une famille.
En 2018, de nouvelles règles ont été instaurées, qui durcissent la fiscalité pour les PEL ouverts après le 1er janvier, avec notamment le Prélèvement Forfaitaire Unique (PFU) qui impose à hauteur de 30% les revenus financiers. Si vous disposez d’un plan d’épargne logement avant cette date, vous ne serez pas (ou partiellement pas pour ceux après 2011) soumis à cette nouvelle fiscalité. Si vous souhaitez en savoir plus, vous pourrez vous documenter sur le web, et bien sûr échanger avec nos constructeurs !